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GRANDE VEILLEE DE PRIERE DU JEUDI SAINT A MARTIGUES

  • PAROISSE DE MARTIGUES

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  Dernière Cène, Juan de Juanes (1523-1579)

   

ADORATION AU REPOSOIR

Jeudi Saint, Saint Genest (Jonquières), 21h à 22h 

 

 

L'EGLISE OUVRE LE LIVRE

  

L'Église ouvre le livre et se souvient :
L'Amour nous a aimés jusqu'a la fin.
Que nul ne désespère du pardon
Jésus nous a saisis dans sa passion.
Seigneur, fais-nous brûler de ton amour ! (bis) 

 

Voici la croix dressée sur nos chemins :
L'Amour nous a aimés jusqu'à la fin.
La lance a fait jaillir l'eau et le sang,
Jésus est retourné au Dieu vivant.
Seigneur, fais-nous brûler de ton amour ! (bis)

Veilleurs, ne doutez pas du jour qui vient :
L'Amour nous a aimés jusqu'à la fin.
A l'heure où son offrande est accomplie,
Jésus nous donne encore le pain de vie.
Seigneur, fais-nous brûler de ton amour ! (bis)



 

« J’invite chaque chrétien, en quelque lieu et situation où il se trouve, à renouveler aujourd’hui même sa rencontre personnelle avec Jésus Christ ou, au moins, à prendre la décision de se laisser rencontrer par lui, de le chercher chaque jour sans cesse. »

(La Joie de l’Evangile, Pape François §3)

 

 

LE PAIN DE VIE (Jn 6, 35-58)

 

Moi, je suis le pain de vie. Qui vient à moi n'aura jamais faim ; qui croit en moi n'aura jamais soif.

Mais je vous l'ai dit : vous avez vu, et vous ne croyez pas.

Tous ceux que le Père me donne viendront à moi ; et celui qui vient à moi, je ne vais pas le jeter dehors.

Car je suis descendu du ciel pour faire non pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé.

Or la volonté de celui qui m’a envoyé, c’est que je ne perde aucun de ceux qu’il m’a donné.

Moi, je suis le pain qui est descendu du ciel.

Nul ne peut venir à moi, si le Père qui m'a envoyé ne l'attire, et  je le ressusciterai au dernier jour.

En vérité, en vérité, je vous le dis : celui qui croit en moi a la vie éternelle.

 

Silence…… reprise de quelques phrases…… chant

 

 

Moi, je suis le pain de vie.

Je suis le pain vivant descendu du ciel : qui mangera de ce pain, vivra à jamais et même le pain que je donnerai, c'est ma chair, pour que le monde ait la vie.

En vérité, en vérité, je vous le dis : si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et ne buvez son sang, vous n'aurez pas la vie en vous.

Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour.

En effet, ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang vraiment une boisson.

Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi je demeure en lui.

De même que le Père, qui est vivant, m'a envoyé, et que je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi.

Tel est le pain qui descend du ciel : celui qui mange ce pain vivra éternellement.

 

Silence…… reprise de quelques phrases…… chant

 

LE BON PASTEUR (Jn 10, 2-18)

 

« Le regard du Bon Pasteur, ne cherche pas à juger mais à aimer. »

(La Joie de l’Evangile, Pape François §125)

 

Celui qui entre par la porte, est le pasteur des brebis.

Le portier lui ouvre, et les brebis écoutent sa voix. Ses brebis à lui, il les appelle une à une, et il les fait sortir.

Quand il a conduit dehors toutes ses brebis, il marche devant elles, et les brebis le suivent parce qu’elles connaissent sa voix.

En vérité, en vérité, je vous le dis : je suis la porte des brebis.

Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands ; mais les brebis ne les ont pas écoutés.

Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et sortira, et il trouvera un pâturage.

Moi je suis venu pour que les hommes aient la vie et qu'ils   l'aient en abondance.

 

   Silence…… reprise de quelques phrases…… chant

 

 

Je suis le bon pasteur ; le bon pasteur donne sa vie pour ses brebis.

Je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis.

J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur.

C’est pour cela que le Père m'aime parce que je donne ma vie pour la reprendre.

Personne ne me l'enlève mais je la donne de moi-même. J'ai le pouvoir de la donner, et le pouvoir de la reprendre : tel est le commandement que j'ai reçu de mon Père.

 

Silence…… reprise de quelques phrases…… chant

 

LA VIGNE VERITABLE (Jn 15, 1-17)

 

Je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron.

Tout sarment en moi qui ne porte pas de fruit, mon Père l'enlève et tout sarment qui porte du fruit, il le nettoie, pour qu'il porte encore plus de fruit.

Déjà vous êtes purifiés grâce à la parole que je vous ai fait entendre :

Demeurez en moi, comme moi en vous. De même que le sarment ne peut de lui-même porter du fruit s'il ne demeure pas sur la vigne, ainsi vous non plus, si vous ne demeurez pas en moi.

Je suis la vigne ; vous, les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là porte beaucoup de fruit ; car, hors de moi, vous ne pouvez rien faire.

Si quelqu'un ne demeure pas en moi, il est comme un sarment qu'on a jeté dehors, et qui se dessèche. Les sarments secs, on les ramasse, on les jette au feu, et ils brûlent.

Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez et vous l'obtiendrez.

C’est la gloire de mon Père que vous donniez beaucoup de fruit et deveniez mes disciples.

 

Silence…… reprise de quelques phrases…… chant

 

« Je désire demander spécialement aux chrétiens de toutes les communautés du monde un témoignage de communion fraternelle qui devienne attrayant et lumineux. Que tous puissent admirer comment vous prenez soin les uns des autres, comment vous vous encouragez mutuellement et comment vous vous accompagnez. » (La Joie de l’Evangile, Pape François §99)

 

Comme le Père m'a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Demeurez dans mon amour.

Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, comme moi, j'ai gardé  les commandements de mon Père, et je demeure dans son amour.

Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous, et que vous soyez comblés de joie.

Voici quel est mon commandement : vous aimer les uns les autres comme je vous ai aimés. Nul n’a plus grand amour que celui-ci : donner sa vie pour ses amis. Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande.

Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; mais je vous appelle amis parce que tout ce que j'ai entendu de mon Père, je vous l'ai fait connaître.

Ce n'est pas vous qui m'avez choisi ; mais c'est moi qui vous ai choisis et vous ai établis pour que vous alliez et portiez du fruit, et que votre fruit demeure. Alors, tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne.

Ce que je vous commande, c'est de vous aimer les uns les autres.

 

Silence…… reprise de quelques phrases…… chant

 

« Demandons au Seigneur de nous faire comprendre la loi de l’amour. Qu’il est bon de posséder cette loi ! Comme cela nous fait du bien de nous aimer les uns les autres au-delà de tout ! »  

(La Joie de l’Evangile, Pape François §101)

 

Aimer c'est tout donner et se donner soi-même ! (bis)

 

Dieu a tant aimé Le monde qu'il lui a donné son Fils.
 
Aimez-vous les uns les autres comme Dieu vous a aimés.

Aimons-nous les uns les autres, le premier Dieu nous aima.

Aimons-nous les uns les autres car l’Amour nous vient de Dieu.

Dieu nous a comblés d’Amour, faisant de nous ses enfants.

 

PRIERE A MARIE

 

(La Joie de l’Evangile, Pape François)

 

285. Au pied de la croix, en cette grande heure de la nouvelle création, le Christ nous conduit à Marie. Il nous conduit à elle, car il ne veut pas que nous marchions sans une mère, et le peuple lit en cette image maternelle tous les mystères de l’Évangile.

 

288. Chaque fois que nous regardons Marie nous voulons croire en la force révolutionnaire de la tendresse et de l’affection.

En elle, nous voyons que l’humilité et la tendresse ne sont pas les vertus des faibles, mais des forts, qui n’ont pas besoin de maltraiter les autres pour se sentir importants.

 

 

Nous la supplions afin que, par sa prière maternelle, elle nous aide pour que l’Église devienne une maison pour beaucoup, une mère pour tous les peuples, et rende possible la naissance d’un monde nouveau. C’est le Ressuscité qui nous dit, avec une force qui nous comble d’une immense confiance et d’une espérance très ferme : « Voici, je fais l’univers nouveau » (Ap 21, 5).

 

Avec Marie, avançons avec confiance vers cette promesse, et disons-lui : (tous)

 

Vierge et Mère Marie, toi qui, mue par l’Esprit, as accueilli le Verbe de la vie dans la profondeur de ta foi humble, totalement abandonnée à l’Éternel, aide-nous à dire notre “oui” dans l’urgence, plus que jamais pressante, de faire retentir la Bonne Nouvelle de Jésus.

Obtiens-nous maintenant une nouvelle ardeur de ressuscités pour porter à tous l’Évangile de la vie qui triomphe de la mort.

Donne-nous la sainte audace de chercher de nouvelles voies pour que parvienne à tous le don de la beauté qui ne se ternit pas.

Étoile de la nouvelle évangélisation, aide-nous à rayonner par le témoignage de la communion, du service, de la foi ardente et généreuse, de la justice et de l’amour pour les pauvres, pour que la joie de l’Évangile parvienne jusqu’aux confins de la terre et qu’aucune périphérie ne soit privée de sa lumière.

Mère de l’Évangile vivant, source de joie pour les petits, prie pour nous. Amen.

 

Je vous salue Marie (chanté) 

 


Adoration jusqu'à minuit 

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