CETTE SEMAINE SUR KTO
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Bernard Debré, député UMP
Etienne Grieu, pour : Un lien si fort : quand l'amour de Dieu se fait diaconie, édité chez L'Atelier. L'amour de Dieu bouleverse les cœurs, il n'y reste pas confiné. Il déborde et cherche à irriguer tout le champ de la vie relationnelle. Comment retravaille-t-il les manières de se situer des chrétiens, notamment dans le domaine de la charité et de l'engagement ? Les organisations et les structures sociales lui seraient-elles imperméables ? C'est toute la question de la vocation diaconale des chrétiens et des Églises que l'ouvrage aborde de façon claire et audacieuse. La réédition de cet ouvrage de 2009 se fait dans la perspective de la préparation et du rassemblement de Diaconia 2013, organisé à l'initiative de l'Église de France. |
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Joël Molinaro, pour : Le catéchisme, une invention moderne, édité à Bayard. Le catéchisme est né avec la modernité. Son invention au XVIe siècle par Martin Luther, et reprise par l'Église catholique, coïncida avec la Renaissance et l'esprit humaniste, avec l'apparition d'une culture de l'individu. Pour Joël Molinario, il s'agit bien plus que d'une coïncidence. Non seulement le catéchisme est né avec la modernité mais plus encore il contribua à façonner celle-ci par plusieurs aspects : besoin individuel de comprendre par les mots, besoin d'une éducation populaire et création d'institutions pour enseigner la foi... L'auteur retrace cet itinéraire de l'invention du catéchisme jusqu'à nos jours et raconte ainsi une histoire passionnante d'un quiproquo et d'un renversement de valeurs qui ont fait du catéchisme une notion attachée à l'idée antimoderne. Il étudie en quoi l'Église catholique du XXIe siècle tente d'opérer un nouveau renversement en réhabilitant le catéchisme. |
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![]() Claude-Henri Rocquet, pour : Les racines de l'espérance, édité chez L'Œuvre. « Je n'ai de foi que grâce à l'espérance. L'une est si proche de l'autre qu'elles se confondent. Je ne distingue plus entre ces deux formes de courage, ces deux formes d'énergie. Je ne peux croire que Judas jusqu'à son dernier souffle ait désespéré. Je crois et j'espère que Jésus n'a pas désespéré de lui. Et que le bon et le mauvais larron sont entrés ensemble au royaume des cieux : celui qui croyait au ciel, celui qui n'y croyait pas. L'espérance de l'un pouvait revêtir l'autre comme un manteau partagé. Le bon larron fut bon Samaritain, ne lâchant pas son prochain, son frère. » Pour l'auteur, l'amour de Dieu, l'unique amour, est la force même, la lumière éternelle, qui dissipe en nous, aujourd'hui, dans notre cœur et notre conscience, les ténèbres et les angoisses de la mort. Journal spirituel, Les racines de l'espérance est un hymne à la joie. |
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