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POUR SE PREPARER A NOEL : CELEBRATION PENITENTIELLE

  • PAROISSE DE MARTIGUES

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 Rembrandt

 

 

Refrain:        Viens, Seigneur, ne tarde plus

                        Hâte le jour de ton retour

                        Fais lever sur terre la splendeur de ta Gloire

                        Fais lever sur terre la splendeur de ta Gloire.

 

1.         Le Seigneur vient, aplanissez sa route

            Préparez les chemins de votre Roi

            Pour qu’il vous trouve éveillés à son retour des noces ;

 

2.         Ouvrez large la porte de vos cœurs

            Car il vient notre Sauveur.

            Toute chaire verra le salut de Dieu.

 

3.         Joie au ciel, exulte la terre,

            Le Seigneur Dieu vient bientôt.

            Heureux ceux qui croient à l’accomplissement de sa Parole.

 

Bénédiction des pénitents

 

Prière d’ouverture

 

Lecture de l’Evangile

 

Chant :

 

En accueillant l’amour de Jésus Christ,

Nous avons tout reçu des mains du Père,

Nous avons tout reçu des mains du Père,

Et nous aurons la joie de partager le pain

Avec les pauvres de la terre.

Et nous aurons la joie de partager le pain.

 

En célébrant la mort de Jésus Christ

Nous avons tout remis aux mains du Père,

Nous avons tout remis aux mains du Père,

Il nous envoie porter l’espoir du jour qui vient

Parmi les pauvres de la terre.

Il nous envoie porter l’espoir du jour qui vient.

 

En devenant le corps de Jésus Christ,

Nous vivrons tous en fils d’un même Père,

Nous vivrons tous en fils d’un même Père,

Les artisans de paix témoigneront de lui

Auprès des pauvres de la terre.

Les artisans de paix témoigneront de lui.

 


 

 

 

En accueillant l’amour de Jésus Christ, nous avons tout reçu des mains du Père,

 

Nous allons célébrer le don de Dieu pour l’humanité : « Béni soit le Dieu est Père de Notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a béni de toutes sorte de bénédiction spirituelle dans le Christ » (Eph 1,3) et qu’as-tu que tu n’aies reçu ? (St Paul)

Qu’ai-je reçu ? De qui ?
Quelle reconnaissance en ai-je ? Quelle joie du don gratuit reçu ?

Qu’est-ce que je reçois aujourd’hui encore ? Suis-je toujours en capacité de recevoir, d’être dans la reconnaissance, dans la joie d’accueillir le don gratuit ?

 

Et nous aurons la joie de partager le pain avec les pauvres de la terre.

 

Que fais-je de ce que j’ai reçu, de ce que je reçois ? Je le garde, je le réserve à quelques uns, je l’offre à un public choisi, je le distribue largement ?

 

En célébrant la mort de Jésus Christ, nous avons tout remis aux mains du Père.

 

« Si le Seigneur ne bâtit la maison, les bâtisseurs travaillent en vain,
Si le Seigneur ne garde la ville, c’est en vain que veillent les gardes. » Ps 126

« Sans moi, vous ne pouvez rien faire. » Jn 15,5

« Tout est accompli » dit Jésus ;«  Il inclina la tête et remit l’Esprit. » Jn 19,30

Lui seul, le Christ mène toutes choses à son accomplissement, lui seul fait porter un fruit qui demeure.

Quelles sont les actes de ma vie dans lesquels j’ai pris conscience de la part essentielle de Dieu ?

Et quelle place a la prière dans mes actes, quelle place a Dieu dans mes décisions, quelle place a la reconnaissance envers Dieu et les autres dans mes réussites, quelle place a l’espérance dans mes échecs ? Quelle place je garde dans tout cela : tout ne serait-il que mon oeuvre ?

 

Il nous envoie porter l’espoir du jour qui vient parmi les pauvres de la terre.

 

De quelle espérance suis-je témoin ?

 

En devenant le corps de Jésus Christ, nous vivrons tous en fils d’un même Père,

 

Je fais partie d’un corps, j’en suis partie prenante, membre à part entière. Pleurez avec ceux qui pleurent, soyez dans la joie avec ceux qui sont dans la joie. (St Paul).
Comment le lien au corps prend corps dans ma vie ?
Suis-je plutôt à l’extérieur du corps, ou à l’intérieur ? Est-ce que je le regarde, le critique comme une communauté extérieure, par exemple ? Ou bien suis-je blessé par les blessures du corps, heureux par le bonheur du corps ?

Est-ce que je me considère au-dessus du corps, meilleur que les autres ou un parmi d’autres ?

Est-ce que je m’ouvre à ce corps ou est-ce que je reste sur mon quant à moi ?

 

Les artisans de paix témoigneront de lui auprès des pauvres de la terre.

 

De quel amour fraternel suis-je témoin ?

 

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