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FEUILLE DE CHANTS POUR LE DIMANCHE 14 JUIN

  • PAROISSES DE MARTIGUES ET PORT DE BOUC
FEUILLE DE CHANTS POUR LE DIMANCHE 14 JUIN

CHANT D’ENTREE

 

R. Lauda Jerusalem, Dominum ; Lauda Deum tuum, Sion.

Hosanna, Hosanna, Hosanna Filio David !

 

R. Jérusalem loue le Seigneur : loue ton Dieu, ô Sion

Hosanna, Hosanna, Hosanna, fils de David !

 

1. Quoniam confortavit seras portarum tuarum : * benedixit filiis tuis in te.

 

1. Car il a fortifié (contre le péché) les serrures de nos portes ; il bénit vos fils (d’adoption) en votre personne

 

2. Qui posuit fines tuos pacem : * et adipe frumenti satiat te.

 

2. Il a placé la paix sur vos frontières ; il vous nourrit de la fleur de froment, (Jésus, le Pain de vie)

 

3. Qui emittit eloquium suum terrae : * velociter currit sermo ejus

3. Il envoie (par vous) son Verbe à la terre ; sa Parole parcourt le monde avec rapidité.

 

4. Qui dat nivem sicut lanam : * nebulam sicut cinerem spargit.

 

4. Il fait tomber la neige comme de la laine ; il répand la gelée blanche comme de la cendre.

 

5. Mittit crystallum suam sicut buccellas : * ante faciem frigoris ejus quis sustinebit.

 

5. Il lance sa glace, comme de légers morceaux de pain ; qui pourrait résister devant le froid que son souffle répand ?

 

6. Emittet verbum suum, et liquefaciet ea : * flabit spiritus ejus, et fluent aquae.

 

6. Mais bientôt il envoie (en Marie) son Verbe qui fond ces glaces ; l’Esprit de Dieu souffle et les eaux reprennent leur cours.

 

7. Qui annunciat verbum suum Jacob : * justitias et judicia sua Israel.

 

7. Il annonce son Verbe à Jacob, ses lois et ses jugements à Israel.

 

8. Non fecit taliter omni nationi : * et judicia sua non manifestavit eis.

 

8. (Jusqu’aux jours où nous sommes) il n’avait pas agi de même pour toutes les nations, et il ne leur avait pas manifesté ses décrets

 

9. Gloria Patri, et Filio, * et Spiritui Sancto.

 

9. Gloire au Père, au Fils, et au Saint-Esprit

 

10. Sicut erat in principio, et nunc, et semper, * et in saecula saeculorum. Amen.

 

10. Comme Il était au commencement, maintenant et toujours, et pour les siècles des siècles. Ainsi-soit-il.

 

 

 

SEQUENCE

 

Lauda Sion salvatorem

lauda ducem et pastorem

in hymnis et canticis.

 

Sion, célèbre ton Sauveur,

chante ton chef et ton pasteur

par des hymnes et des chants.

 

Quantum potes tantum aude

quia maior omni laude

nec laudare sufficis.

 

Tant que tu peux, tu dois oser,

car il dépasse tes louanges

tu ne peux trop le louer.

 

Laudis thema specialis

panis vivus et vitalis

hodie proponitur

 

Le pain vivant, le pain de vie,

il est aujourd'hui proposé

comme objet de te louanges.

 

Quem in sacrae mensa cenae,

turbae fratrum duodenae

datum non ambigitur.

 

Au repas sacré de la Cène

Il est bien vrai qu'il fut donné

au groupe des douze frères.

 

Sit laus plena, sit sonora,

sit iucunda, sit decora

mentis iubilatio.

 

Louons-le à voix pleine et forte,

que soit joyeuse et rayonnante

l'allégresse de nos cœurs !

 

Dies enim solemnis agitur,

in qua mensae prima recolitur

huius institutio.

 

C'est en effet la journée solennelle

où nous fêtons de ce banquet divin

la première institution.

 

In hac mensa novi Regis,

novum Pascha novae legis,

phase vetus terminat.

 

A ce banquet du nouveau Roi,

la Pâque de la Loi nouvelle

met fin à la Pâque ancienne.

 

Vetustatem novitas,

umbram fugat veritas,

noctem lux eliminat.

 

L'ordre ancien le cède au nouveau,

la réalité chasse l'ombre

et la lumière la nuit.

 

Quod in cena Christus gessit,

faciendum hoc expressit

in sui memoriam.

 

Ce que le Christ fit à la Cène,

il ordona de le faire

en mémoire de lui.

 

Docti sacris institutis,

panem, vinum in salutis

consecramus hostiam.

 

Instruits par son précepte saint,

nous consacrons le pain, le vin,

en victime de salut.

 

Dogma datur christianis,

quod in carnem transit panis,

et vinum in sanguinem.

 

C'est un dogme pour les chrétiens

que le pain se change en son corps,

et le vin en son sang.

 

Quod non capis, quod non vides,

animosa firmat fides,

praeter rerum ordinem.

Ce qu'on ne perçoit pas, ce qu'on ne voit pas,

notre foi ose l'affirmer,

hors des lois de la nature.

 

Sub diversis speciebus,

signis tantum, et non rebus,

latent res eximiae.

 

L'une et l'autre de ces espèces sont là

simplement comme des signes et non comme des réalités,

car elles cachent de magnifiques réalités.

 

Caro cibus, sanguis potus:

manet tamen Christus totus

sub utraque specie.

 

Sa chair est une nourriture, son sang est une boisson,

mais le Christ tout entier demeure

sous chacune des espèces.

 

A sumente non concisus,

non confractus, non divisus:

integer accipitur.

 

On le reçoit sans le briser,

le rompre ni le diviser ;

il est reçu tout entier.

 

Sumit unus,,sumunt mille:

quantum isti, tantum ille:

nec sumptus consumitur.

 

Qu'un seul ou mille communient,

ceux-ci reçoivent autant que celui-là,

on s'en nourrit sans le détruire.

 

Sumunt boni, sumunt mali:

sorte tamen inaequali,

vitae vel interitus.

 

Bons et mauvais le reçoivent,

mais pour un sort bien différent,

pour la vie ou pour la mort.

 

Mors est malis, vita bonis:

vide paris sumptionis

quam sit dispar exitus.

 

Mort des pécheurs, vie pour les jutes ;

vois : ils prennent pareillement ;

quel résultat différent !

 

Fracto demum sacramento,

ne vacilles, sed memento

tantum esse sub fragmento,

quantum toto tegitur.

 

Enfin, si l'on divise les espèces,

n'hésite pas, mais souviens-toi

qu'il est présent dans un fragment

aussi bien que dans le tout.

 

Nulla rei fit scissura:

signi tantum fit fractura,

qua nec status, nec statura

signati minuitur.

 

La réalité profonde n'est pas divisée,

le signe seul est partagé ;

de celui qui est signifié

ni la taille ni l'état ne sont en rien diminués.

 

Ecce panis angelorum,

factus cibus viatorum:

vere panis filiorum,

non mittendus canibus.

 

Voici le pain des anges,

devenu la nourriture des pèlerins ;

c'est le vrai pain des enfants

qu'il ne faut pas jeter aux chiens.

 

In figuris praesignatur,

cum Isaac immolatur,

agnus Paschae deputatur,

datur manna patribus.

 

D'avance il fut annoncé

par Isaac en sacrifice,

par l'agneau pascal immolé

par la manne donnée à nos pères.

 

Bone pastor, panis vere,

Iesu, nostri miserere:

tu nos pasce, nos tuere,

Tu nos bona fac videre

in terra viventium.

 

O bon Pasteur, pain véritable,

ô Jésus, aie pitié de nous,

nourris-nous et protège-nous,

fais-nous voir les biens éternels

dans la terre des vivants.

 

Tu qui cuncta scis et vales,

qui nos pascis hic mortales:

tuos ibi commensales,

coheredes et sodales

fac sanctorum civium.

 

Toi qui sais tout et qui peux tout

toi qui nous nourris en cette vie mortelle,

fais de nous, là-haut, tes convives,

rends-nous cohéritiers

et compagnons des saints de la cité céleste.

 

 

CHANT DE COMMUNION

 

 

RECEVEZ LE CHRIST

 

1. Voici le Fils aimé du Père,

Don de Dieu pour sauver le monde.

Devant nous il est là, il se fait proche,

Jésus, l'Agneau de Dieu !

 

R. Recevez le Christ doux et humble,

Dieu caché en cette hostie.

Bienheureux disciples du Seigneur,

Reposez sur son cœur, apprenez tout de lui.

 

2. Jésus, jusqu'au bout tu nous aimes,

Tu prends la condition d'esclave.

Roi des rois, tu t'abaisses jusqu'à terre

Pour nous laver les pieds.

 

3. Seigneur, comme est grand ce mystère,

Maître comment te laisser faire ?

En mon corps, en mon âme pécheresse,

Tu viens pour demeurer.

 

4. Je crois, mon Dieu, en toi j'espère.

Lave mes pieds et tout mon être :

De ton cœur, fais jaillir en moi la source,

L'eau vive de l'Esprit.

 

5. Seigneur, tu m'appelles à te suivre.

Viens au secours de ma faiblesse.

En mon cœur, viens, établis ta demeure,

Que brûle ton Amour.

 

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