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DE MARTIGUES A COMPOSTELLE (25)

  • PAROISSE DE MARTIGUES
DE MARTIGUES A COMPOSTELLE (25)
DE MARTIGUES A COMPOSTELLE (25)
La femme en bleu est Eva, elle est Hongroise, nous la rencontrons très régulièrement mais nous ne voyageons pas ensemble. Je vous embrasse. Hélène.
La femme en bleu est Eva, elle est Hongroise, nous la rencontrons très régulièrement mais nous ne voyageons pas ensemble. Je vous embrasse. Hélène.
La femme en bleu est Eva, elle est Hongroise, nous la rencontrons très régulièrement mais nous ne voyageons pas ensemble. Je vous embrasse. Hélène.
La femme en bleu est Eva, elle est Hongroise, nous la rencontrons très régulièrement mais nous ne voyageons pas ensemble. Je vous embrasse. Hélène.
La femme en bleu est Eva, elle est Hongroise, nous la rencontrons très régulièrement mais nous ne voyageons pas ensemble. Je vous embrasse. Hélène.

La femme en bleu est Eva, elle est Hongroise, nous la rencontrons très régulièrement mais nous ne voyageons pas ensemble. Je vous embrasse. Hélène.

Melide, 50km

 

Pluie. Comme prévu, mes chaussures étaient encore très humides ce matin mais ce qui avait le moins bien séché, c'était les semelles intérieures. Mais j'ai quand même pu marcher  tranquillement sauf qu'il a encore plu. Bon. Sous la pluie, les 'hola' et les  'buen camino' sont un peu moins enthousiastes.

 

Il y a maintenant beaucoup de pèlerins, le chemin est une véritable autoroute !  Certains font tamponner  5, 6 ou 10 credencials. Existe-t-il un trafic de credencials ? L'époque des pèlerins conviviaux et fraternels est révolue. Mes voisines de chambre ont leur maquillage et leur sèche-cheveux. Elles n'ont pas pu porter tout ça ! En effet, le pèlerin se dépouille de plus en plus pour ne conserver que le strict nécessaire. Certains se sont même débarrassés de leurs affaires de pluie et sont un peu embêtés maintenant. Il ne me serait pas venu à l'esprit de prendre du maquillage ou un sèche-cheveux. Je n'ai même pas de pince à épiler, mes sourcils sont une jungle embrouillée !

 

Ce décalage entre pèlerins est un peu désagréable car on n'a plus du tout l'impression de partage qui faisait la richesse des échanges sur le Camino... Pour autant, je comprends que quand on n'a qu'une semaine à consacrer, on puisse quand même désirer vivre le chemin. Et puis ces néo-pèlerins ont eux aussi des motivations. C'est peut être moi qui me sens perdue et qui me renferme ? 

 

Demain, promis, je fais copine avec un ou une pèlerin(e)! Ultreïa ! Hélène.

M
Myriam Arnold J'ai un ami qui ne va pas très bien et qui aimerait bien faire le chemin de Compostelle pour se retrouver<br /> Si vous connaissez quelqu'un qui pourrait marcher avec lui en septembre deux semaines<br /> Merci pour lui<br /> Il habite Bordeaux mais peut se déplacer
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